Rester en survêtement toute la journée, ne pas se maquiller, avoir moins de linge sale sont autant de points positifs à être un couple paresseux. En voici plein d’autres.

 

Vous n’avez pas vous soucier de votre apparence.
Vous pouvez rester en jogging et en gros sweat à capuche toute la journée.
Lorsque vous décidez d’être paresseux à 2, vous vous libérez du carcan de la mode !

 

Pas besoin d’envoyer des SMS groupés pour prévoir les plans du week end.
Vous savez que vous allez plutôt rester affalés sur votre canapé à mater Netflix de vendredi soir… au dimanche soir.
Au moins !

Siestes après siestes, vous vous sentez tomber dans les bras de Morphée après avoir mangé et bu sur votre canapé.
En même temps, vous n’avez rien de prévu.
Donc vous pouvez vous laisser prendre par le sommeil.

 

Un week-end paresseux à 2, c’est l’occasion de s’enlacer.
Et plus si affinité.
Etre à la maison avec son amoureux = plus de sexe.

Les couples qui ne sont pas stressés sont les couples les plus heureux.
Parfois, vous avez simplement besoin de rentrer chez vous et de faire le strict minimum.
Vous avez travaillé toute ma semaine. Alors vous méritez amplement un off.

 

A la maison avec votre amoureux, vous pouvez vraiment être vous même.
Sans prétention aucune…

Les week-ends que vous passez avec votre amoureux, ça sert à faire tout ce qui vous passe par la tête.
Rester une heure dans la salle de bain de matin parce que vous n’êtes pas encore tout à fait réveillée, manger du cornichon et un bloc de cheddar pour le déjeuner : c’est vous qui décidez !

A force de rester à la maison à ne rien faire avec votre chéri, vous êtes parfaitement reposée.
Et du coup, vous ne comprenez plus vraiment pourquoi vos amis eux sont toujours « épuisés ».
Ca veut dire quoi être « fatigué » déjà ?
Vous ne faites pratiquement plus de lessive.
En même temps quand on porte les mêmes fringues tout le week-end, on a forcément moins de linge sale.

Vos amis ne s’attendent jamais à ce que vous sortiez.
Et avoir moins d’invitations signifie moins d’embrouille lorsqu’il faut décliner.