Ce qui ne se ressemble pas peut s’assembler

« Nous sommes assez différents, mon mari et moi, mais nous assumons nos travers. Si nous sommes bien ensemble, c’est parce que nous nous aimons en globalité. Mon mari est réservé et a eu une éducation très stricte. Je suis italienne et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce n’est pas toujours la dolce vita. Nous avons vite compris que ça ne servait à rien de vouloir à tout prix faire entrer l’autre dans un moule qui n’est pas fait pour lui. C’est juste illusoire et vain. Il n’y a que l’amour qui tienne. »

Vous vous vouez un culte

« C’était le coup de foudre instantané. Je savais que j’étais tombée sur la perle rare. On s’est mariés 10 mois après notre première rencontre. Si notre relation dure, c’est en grande partie parce que mon mari est béat d’admiration devant moi. Il a cette aura réconfortante. Il est et continue d’être mon plus grand fan, il me supporte et croit en mes projets professionnels. Au moindre doute, il est là pour me redonner confiance en moi et me tirer vers le haut. »

Vous vous supportez dans vos passions les plus démesurées

« Quand j’ai fait la rencontre de ma femme, j’étais parachutiste. Le genre de type à aller plus vite, plus haut, plus loin et jamais en manque de stimuli déclencheurs. Mon côté casse-cou et aventurier n’a jamais rebuté ma femme pour autant. J’ai même réussi à l’initier à certaines activités de l’extrême, elle qui était aux antipodes de mon univers. Si elle ne m’accompagne pas durant mes aventures à la Indiana Jones, elle me supporte quoiqu’il advienne. Elle comprend que je sois un rebelle qui vive de grand air et de poussées d’adrénaline, rien que pour ça je l’aime éperdument. »

Vous avez l’impression de vous connaître depuis toujours

« J’ai rencontré mon âme sœur de manière inattendue et imprévue, une soirée où je broyais du noir, suite à une rupture houleuse, je voulais noyer mon chagrin dans un bar et c’est là que mon actuel mari m’a abordée. Je n’avais pas l’habitude de parler à des étrangers ni à me faire accoster par eux. Mais ce soir-là, tous mes bons principes avaient disparu. Nous avons fini à la même table, buvant et discutant. J’avais l’impression de parler avec un ami de longue date, j’ai même accepté sans sourciller que ce parfait inconnu me raccompagne chez moi. Une petite voix me disait fonce, je me suis fiée à mon intuition et je ne l’ai jamais regretté. »