Les troubles de l’écriture :
Des changements de l’écriture passent souvent inaperçus jusqu’à ce que quelqu’un nous fasse la remarque ! Mais après avoir lu ceci, vous y ferez certainement plus attention.
Les changements ou troubles de l’écriture font partie des symptômes les plus courants de la maladie de Parkinson. Ils apparaissent aux premiers stades de la maladie et poussent souvent le sujet souffrant à consulter. Ces troubles se manifestent souvent par une réduction de la taille des caractères ainsi qu’une difficulté à débuter l’écriture.
Les troubles de l’écriture sont causés par une rigidité musculaire qui bloque la fluidité de l’écriture, mais aussi par un ralentissement des mouvements tous deux liés à la maladie de Parkinson.
Un index plus long que l’annulaire :
La taille des doigts a été étudiée par de nombreux chercheurs dans le but d’établir un lien entre celle-ci et le caractère de la personne. Mais saviez-vous qu’elle peut aussi révéler la schizophrénie ?
En effet, selon une étude publiée dans la revue Clinical Anatomy, la longueur des doigts des hommes peut en dire long sur leur stabilité mentale. L’étude a été menée sur 103 hommes schizophrènes, 100 hommes sains. Ils ont comparé la taille de leurs doigts et ont conclu que chez les schizophrènes l’index de la main droite était plus long que l’annulaire de cette même main, comparés aux hommes sains.
Ce fait peut être expliqué par une importante exposition à des taux élevés de testostérone dans l’utérus. Ceci peut non seulement impacter le développement du cerveau, en augmentant les risques de schizophrénies chez le bébé, mais aussi influencer la taille et la longueur des doigts.
Incapacité de faire du calcul mental :
Nous ne sommes certainement pas tous doués en matière de calcul mental, mais quand les opérations les plus simples deviennent difficiles à réaliser, là il faudra s’inquiéter.
La difficulté à faire des calculs mentaux simples, fait partie des premiers symptômes de d’Alzheimer. Cette maladie qui se caractérise par des troubles de la mémoire, cause aussi des troubles cognitifs et des difficultés de raisonnement.
Différentes études ont prouvé que les troubles de calcul apparaissent précocement chez les personnes souffrant d’Alzheimer et progressent avec l’évolution de la maladie.
Les ronflements :
Considéré comme un véritable dérangement plutôt qu’un problème de santé, les ronflements peuvent toutefois être les signes avant-coureurs de sérieux troubles.
En effet, selon une étude menée par des chercheurs de l’hopital Henry Ford à Détroit aux États-Unis, les ronflements peuvent impacter la santé cardiovasculaire. En effet, ces derniers sont liés à un épaississement des parois internes des artères carotides, responsables du transport du sang vers le cerveau. Cet épaississement représente donc un signe précurseur de maladies cardiaques et augmente le risque d’attaque.