3. Le désir sexuel peut diminuer
À ce sujet, les spécialistes ne sont pas tous d’accord. Certains disent que le désir sexuel baisse lorsque la fréquence des rapports sexuels diminue, tandis que d’autres disent que le désir sexuel augmente et la libido devient hyperactive, lorsque vous cessez d’avoir des rapports sexuels, et par conséquent votre libido dépend de vos propres expériences sexuelles. C’est donc un cercle vicieux vu que tous ces éléments sont liés. Toutefois, comme le sexe étant un moyen sûr pour booster la libido, l’abstinence sexuelle risque de la faire baisser dans ce cas.
4. Le stress et l’anxiété augmentent
Le cerveau produit toutes sortes d’hormones de plaisir qui apaisent le corps et l’esprit telles que l’ocytocine et les endorphines. Lorsque vous arrêtez de faire l’amour, vous avez une pression sanguine beaucoup plus élevée que les personnes ayant eu une relation sexuelle récente. L’abstinence vous pousse alors à être de mauvaise humeur et à moins gérer votre stress. Cela crée davantage de frustration et une baisse d’estime de soi.
5. Une santé cardiovasculaire fragile
Une pratique régulière de rapports sexuels a aussi un impact sur votre santé cardiovasculaire car elle fortifie le cœur et permet de réduire les risques de problèmes ou maladies liées au cœur. L’abstinence sexuelle aurait donc un effet négatif.
6. Une sècheresse et un manque de lubrification vaginale
Selon une étude, le fait d’avoir plus souvent des rapports sexuels permet une meilleure lubrification de la paroi vaginale. Mais lorsque vous vous abstenez ou vous marquez une pause, il vous faudra plus de temps pour lubrifier. Cela s’explique à travers le désir qui provoque une excitation et qui se traduit par l’humidification naturelle du vagin afin d’éviter l’irritation de la muqueuse en cas de pénétration.
7. Un niveau intellectuel limité
Des scientifiques ont prouvé dans de nombreuses études que le fait d’avoir des rapports sexuels stimule les neurones dans le cerveau et que cela rend votre cerveau encore plus actif. En effet, l’ennui causé par l’abstinence et la solitude risque de ralentir l’activité cérébrale.