Le câlin acte qui consiste à enlacer le plus de monde possible. Voici les bénéfices scientifiques à l’étreinte.

8-raisons-de-faire-calins

# Le câlin est un antidépresseur naturel
Le sentiment d’abandon et la déprime surgissent quand le taux de sérotonine est trop bas. Mais dès la première étreinte, cette hormone se met à circuler dans les vaisseaux sanguins, diminuant le sentiment de tristesse. Bonne nouvelle si votre entourage est revêche : papouiller un animal de compagnie produit le même effet. Mais avec un poisson rouge, ça risque d’être compliqué.

# Le câlin renforce le coeur
Une étude de l’Université de Chapel Hill, en Caroline du Nord, démontre que le cœur bat plus lentement dès qu’on a quelqu’un dans ses bras. Le câlin éradique également le cortisol, hormone responsable de l’hypertension artérielle. Donc pour vivre centenaire, il reste deux options : courir 10 km tous les dimanches, ou rester sous la couette en se lovant contre un « fiancé-chaufferette » serviable.
# Le câlin réduit les angoisses de mort
Selon une étude publiée dans Psychological Science, toucher son prochain réduit l’angoisse existentielle et les peurs liées à la mort. Mais cet apaisement peut aussi être procuré en étreignant un objet inanimé tel qu’un ours en peluche. Donc si c’est la disette affective, ces temps-ci, vous pouvez toujours acheter un « oreiller boyfriend » : il est en forme de buste avec un bras moelleux pour glisser sa tête.

# Le câlin protège des microbes
C’est vrai, en étreignant votre prochain vous risquez d’attraper ses miasmes, surtout s’il a une gastro…  Mais à part ce pestiféré à contourner, enlacer ses contemporains est immuno-régulateur. Car le sentiment d’apaisement et de sécurité procuré par deux bras stimule la production de globules blancs, les grands guerriers du corps. Bon, sauf si vous enlacez quelqu’un qui couve une gastro sans le savoir.