Le cancer du sein représente le cas de cancer le plus fréquent chez la femme. Une équipe de chercheurs du consortium Kaiser Permanente, a révélé que les femmes consommant des produits à base de laits entiers ont moins de chance de survie lorsqu’elles contractent le cancer du sein.
Les produits laitiers représentent donc un danger pour les cancéreuses du sein, en raison du fait qu’ils contiennent des taux élevés d’œstrogène et de progestérone. Ces deux hormones, en particulier d l’œstrogène, sont associées au cancer du sein, car elles favorisent sa croissance chez la femme.
Les manifestations du cancer de sein :
Lorsque le cancer du sein est à un stade précoce, il ne cause pas trop de douleurs. Ce qui le rend très difficile à prévenir. Cependant, vous pouvez être attentifs à certains symptômes qui sont très souvent révélateurs de cette maladie.
Le premier signe d’alerte se produit au niveau des seins. Tout changement anormal que vous remarquez au niveau des seins peut souvent s’accompagner du cancer. Il s’agit par exemple de l’apparition de nodules ou encore du durcissement de la peau du sein.
La taille peut aussi être annonciatrice du cancer. Il arrive très souvent que les mamelons se rétractent. Mais au-delà de la taille, les rougeurs ou les inflammations qui ne sont causées par l’allaitement tout aussi être annonciateur, tout comme les écoulements de sang.
Voici les principaux facteurs à risque qui favorisent le développement du cancer de sein :
1.L’âge :
Tout comme le cas du cancer de prostate chez l’homme, le cancer de sein chez la femme arrive aussi avec l’âge. Plus vous vieillissez, plus les risques augmentent.
2. L’apparition des règles :
L’apparition des règles est tout à fait normale chez la femme. Mais lorsqu’elle se fait de façon précoce, cela présente un facteur de risque pour la personne.
3. Les antécédents familiaux :
Le cancer de sein peut aussi être héréditaire. Des cas de cancer chez les parents, peuvent également représenter des risques de cancer de sein.
A ces facteurs, il faut ajouter la prise à long terme de traitement hormonal, le surpoids, l’alcool ou encore l’inactivité physique.