S’il y a bien une maladie qui est aujourd’hui le centre de l’attention d’un très grand nombre de scientifiques et de professionnels de la santé c’est bien le cancer. Car sous ses différentes formes, cette maladie est capable de causer des dégâts et des douleurs considérables dans le corps du patient qui en est atteint. Mais l’histoire de cette femme qui a pu surmonter cette épreuve grâce au jus de carotte devrait redonner de l’espoir à plus d’un.
Un diagnostic douloureux mais une volonté de fer
Ann Cameron est auteure de livres pour enfants, mais ce qui l’a rendue davantage célèbre c’est bien l’histoire qu’elle a vécue avec le cancer du côlon et le remède inattendu auquel elle a recouru pour en venir à bout.
Dans un premier temps, elle a subi une opération chirurgicale dans le but d’éliminer le cancer ou du moins l’atténuer, hélas, son développement était déjà à la phase 3. Il s’agit d’une étape où les cellules cancéreuses prennent le pas sur les ganglions lymphatiques qui se trouvent à proximité de la tumeur.
Sa première expérience avec le cancer était en réalité celle de son mari, qui a quitté ce monde suite à une chimiothérapie destinée à éradiquer son cancer du poumon et c’est ce qui l’a convaincue qu’il était hors de question pour elle de suivre une telle méthode de traitement.
Pendant une certaine période, elle avait une sensation d’amélioration qui s’avérera aussitôt illusoire car au bout de six mois, la maladie s’était étendue pour atteindre les poumons, passant ainsi au stade 4 de sa prolifération, ce qui veut dire que le cancer a de loin, dépassé la zone du côlon et du rectum.
A la recherche d’une alternative
Ann a depuis, décidé de se consacrer à la recherche d’une alternative naturelle pour traiter le cancer qui était en train de la ronger. Et c’est peu de temps après qu’elle a eu vent de l’histoire du jeune Ralph Cole qui, âgé de seulement 26 ans, a été atteint de cancer et a pu vaincre la maladie en buvant 2 litres de jus de carottes par jour.
Après avoir appliqué à la lettre cette méthode surprenante de traitement pendant une durée de deux mois, le diagnostic a pu démontrer que la propagation du cancer avait cessé et que les tumeurs perdaient de plus en plus en volume. Au bout de 4 mois, le cancer ne se répandait toujours pas et les ganglions lymphatiques regagnaient de plus en plus leur état normal. Après une durée de 8 mois, le scanner a indiqué que le cancer avait carrément disparu !