Faire une bonne action augmente non seulement l’esprit de solidarité entre les gens mais aussi le niveau de bonheur de l’individu qui l’a faite. Loin des actions de bénévolats bien encadrées comme faire partie d’une association ou organiser une collecte d’argent pour un voisin malade, il suffit d’aider une vielle dame à traverser la route ou céder la place à une femme enceinte dans le métro pour faire une bonne action. Découvrons l’histoire de ce jeune homme qui a sauté soudainement de sa voiture pour donner un coup de main à quelqu’un.

Dans la course effrénée vers le succès, l’individu néglige souvent la façon dont il traite ou doit traiter les autres. Mais quand les valeurs de partage, d’altruisme et de générosité sont ancrées dès l’enfance, faire de bonnes actions devient évident et épanouissant. Il est donc de la responsabilité des parents d’élever leurs enfants pour devenir des adultes matures et généreux dans le futur.

Une étude menée par des chercheurs de Harvard a examiné les comportements des jeunes de cette génération, et le degré d’importance qu’ils donnent aux valeurs humaines. L’étude affirme que les jeunes sont de moins en moins empathiques. Ils accordent beaucoup plus d’importance à leur bonheur et à leur succès, qu’à ceux des autres. Les psychologues appellent les parents à être plus conscients de leur rôle dans la construction des valeurs de leurs enfants.

Voici quelques conseils pour élever des enfants altruistes

Les enfants s’imprègnent de leurs parents. Il est important de noter que les enfants sont intelligents et attentifs aux comportements de leurs parents, Ces  derniers doivent avant tout donner le bon exemple aux touts petits.

Sortir la famille de sa zone de confort. Plonger les enfants dans des actions qui bousculent leur confort aidera à apprendre de belles choses de la vie, par exemple venir en aide à des sans-abris, rendre des visites à des retraités ou encore partager de la nourriture avec un voisin qui vit seul. Les chercheurs des Universités de l’État de Pennsylvanie et de l’Université de Dule ont suivi plus de 700 enfants aux États-Unis, depuis la petite école jusqu’à leur 25 ans, et ont mis en lumière une corrélation significative entre leur comportement social et leur succès en tant qu’adultes 20 ans plus tard.

Expliquer aux enfants les bons comportements des mauvais. Un enfant ne connait pas forcément ce qu’est un bon comportement, il est donc de la responsabilité des parents de communiquer là-dessus. Les parents doivent consacrer du temps et choisir la manière la plus fluide pour transmettre à l’enfant une valeur.