Autres exemples de jugements les plus inhabituels du juge Michael Cicconetti
Une femme a laissé 35 chatons seuls dans une forêt en hiver. En plus de faire payer une amende à la femme, le juge Cicconetti lui a aussi donné un avant-goût de sa propre médecine. Il l’a obligé de passer une nuit dans les bois à la mi-novembre, sans nourriture, sans eau ni tente. Mais comme la température tombait brusquement ce soir-là, le juge Cicconetti était indulgent : il a permis à la femme de faire un feu.
Un homme a insulté la police et l’a appelé «cochon». En guise de punition, il a dû se tenir debout au coin d’une rue avec un cochon de (170 kg) et tenir une pancarte disant : «Ce n’est pas un policier ».
Un chauffeur ivre a été envoyé à la morgue la plus proche en guise de
punition. Alors qu’il était là, il a été forcé de regarder les corps de deux victimes d’un accident de conduite en état d’ébriété.
Une femme a été reconnue coupable d’avoir omis de payer une course en taxi. La punition? Elle devait marcher plus de 30 miles (48 km) – la distance exacte qu’elle a parcourue en taxi.
Un homme a volé une boîte d’argent de l’Armée du Salut destinée à aider les sans-abri. Sa peine ? Il a dû passer une journée sans-abri dans la rue.
Certains élèves du secondaire ont été surpris en train de crever les pneus d’un autobus scolaire. A cause de leur acte, une classe de l’école primaire a dû reporter son voyage prévu au lendemain. Les adolescents coupables ont été contraints d’organiser un pique-nique pour les écoliers.
Deux adolescents ont été reconnus coupables d’avoir écrit 666 (marque du diable) sur une statut de Jésus dans une crèche locale. Le jugement? Ils ont été forcés de conduire un âne à travers la ville alors qu’ils étaient habillés en Marie et Joseph.
Selon Cicconetti, 90% des gens ayant subi la « justice créative » n’ont pas été arrêtés à nouveau et donc n’ont pas récidivé. Ça a l’air plutôt de bien marcher ! Et vous que pensez-vous de cette méthode ?