La chantilly partout
On nous l’a vendu et revendu : le sexe coquin, à un moment, ça doit se concrétiser par un petit jeu gourmand à base de chantilly, Nutella ou tout autre délice sucré à étaler sensuellement sur les parties de notre partenaire. Sauf que désolée, mais nous, la chantilly, ça nous évoque davantage une gaufre chez le marchand ambulant avec papa-maman qu’un moment hot avec notre amoureux. Non seulement, c’est moins bon et on ne peut pas croquer, mais en plus c’est déstabilisant.
Les mecs qui adorent faire des cunnilungus
Un mec qui a envie de faire plaisir et qui aime le corps de son amoureuse c’est super. Mais celui qui est accro à la pratique et qui nous prend pour un burger, on ne valide pas. Rien de pire que de se sentir aspirée par une ventouse humide, qui nous gobe à pleine bouche. Si le mec a la dalle, qu’il dîne avant : il n’y a aucune raison pour que l’on soit l’objet de son gueuleton.
Les massages préliminaires
Une technique qu’on utilise parfois en espérant rallumer le désir de l’autre. Lumières tamisées, petite musique d’ambiance et huile de massage, on se lance dans des grands gestes qui nous paraissent super sensuels, jusqu’à ce qu’on entende celui qu’on chevauche ronronner, puis carrément ronfler. Soyons claires, un massage ça relaxe, ça n’excite pas.
La petite cuite à deux
C’est sûr, rien de plus cosy qu’une bonne bouteille de vin rouge à boire à deux. Sauf que si l’excitation monte au fur et à mesure des verres pris, l’étourdissement aussi. Après quelques heures la petite ivresse s’est transformée en énorme coup de barre : au mieux on finit seule avec nos les lèvres violettes, au pire on s’effondre de sommeil pendant que lui, sur nous, n’arrive pas à finir. Classe.