Ne dit-on pas que la bonté est la langue que l’aveugle peut voir et que le sourd peut entendre ? Malheureusement, la société de plus en plus individualiste dans laquelle nous évoluons nous fait perdre toute notion de partage. Pourtant, tous les actes d’altruisme que nous accomplissons nous sont rendus un jour ou l’autre. La preuve à travers l’histoire de cet homme qui a nourri des enfants affamés sans se douter de ce qui allait se produire par la suite.
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La bonté est un boomerang et l’empathie comble le cœur de celui qui la sème au vent. Agir avec affection, partager avec générosité, parler et regarder avec empathie, sont des gestes simples qui scellent la magie des connexions humaines et se répercutent de part et d’autre. Il n y a rien de tel que de s’enrichir en propageant la joie aux autres. Car la véritable richesse de l’individu réside dans le bien qu’il fait autour de lui.

La bonté et la clémence composent cet oreiller émotionnel sur lequel repose notre conscience et qui garantit notre bien-être intérieur. Prenons l’exemple de la très inspirante théorie des galets : quand on lance un galet dans l’eau, il produit un cercle d’ondes. Ainsi fonctionne la vie : quand on réalise une bonne action, elle a des conséquences positives autour de nous.

Cette histoire survenue à des contrées de chez nous nous invite à réfléchir sur l’impact de nos actes, quels que soient notre religion, rang social ou niveau d’instruction. Elle reflète la pureté d’une âme émotionnellement intelligente et mature. La bienfaisance ne trouve pas son essence exclusivement dans les grands gestes, mais dans les actes quotidiens, à la portée de tous.