L’âme humaine, un mystère à élucider, une énigme à résoudre pour l’humanité et ce, depuis des temps immémoriaux. Une infinité de théories ont fleuri sur le sol fertile de cette question demeurant jusque-là sans réponse décisive, et c’est dans ce sens-là, que bon nombre de scientifiques, trouvant que la théorie était loin d’apporter les éclaircissements nécessaires, ont décidé d’aborder la question d’un point de vue expérimental, ce qui a permis, dans certains cas, d’obtenir des résultats pour le moins étonnants !

Un procédé peu conventionnel

Un scientifique russe du nom de Konstantin F. Korotkov affirme que l’âme existe et qu’il y a sans aucun doute un moyen évident de démontrer qu’il existe quelque chose après la mort. Il a pris en photo une âme quittant le corps et a pu par la même occasion compter ses chakras !

Konstantin a mis en place un dispositif auquel il a donné le nom de « GVC » qui est basé sur un ancien système de points d’énergie méridiens originaire de Chine. Cet appareil mesure l’énergie biologique que dégagent tous les organismes vivants par le biais d’une évaluation non invasive et indolore. Cela consiste en un petit courant électrique mis en connexion avec le bout des doigts et qui met moins d’une milliseconde à envoyer des signaux vers le corps. Ce dernier répond avec une espèce de nuage d’électrons constitué de protons lumineux dès que ces décharges électriques sont émises à travers le corps. Cette lueur peut être capturée avec une caméra optique fonctionnant selon le système CCD avant que l’image ne soit transmise à un ordinateur.

Localisation des points d’énergie vitale appelés « Chakras »

Selon l’ancienne médecine Ayurvédique indienne, il existe 7 points d’énergie tout le long de notre corps connectés aux extrémités des doigts comme expliqué précédemment. Ces derniers sont représentés sous forme de boules de différentes couleurs indiquant combien d’efforts physiques, mentaux et émotionnels nous devons fournir pour les entretenir et les développer, celui du centre étant de loin celui qui nécessite le plus qu’on travaille dessus.