L’étude des fréquences du corps est une nouvelle méthode qui permet d’identifier les aliments et les substances pouvant équilibrer le taux normal de la fréquence électrique d’un corps sain.
Ainsi, il a été dévoilé que la fréquence d’un corps sain se situerait entre 66 et 68 MHz, alors qu’un corps exposé à des maladies avait une fréquence de 58 MHz. Parallèlement à cette étude, on a découvert que la pensée positive faisait grimper votre fréquence, ce qui constituait une mesure préventive contre diverses maladies, dont le cancer.
L’huile essentielle d’encens, un tueur du cancer :
En utilisant des moniteurs de calculs de fréquence, différents chercheurs, appartenant à différentes universités américaines, ont voulu évaluer l’onde de choc des huiles essentielles sur les cellules cancéreuses. En tant que chef du département de l’agriculture de l’université de Washington, Bruce Tanio a utilisé, durant l’une de ses études, un moniteur de fréquence calibrée pour comparer les fréquences des huiles essentielles avec celles des fréquences humaines.
D’après les résultats de cette expérimentation, il s’est avéré que « certaines huiles essentielles étaient capables de corriger le code ADN des cellules, dont l’erreur ouvrait la porte à l’apparition d’une tumeur cancéreuse ».
Selon le Dr. Otto Warburg, deux fois prix Nobel pour sa recherche sur le cancer, affirme que chaque cellule cancéreuse possède une fréquence électrique, par ailleurs, la normalisation de la fréquence ou la tension électrique du corps est une manière de lutter contre un cancer.
Grâce aux huiles essentielles, le corps peut atteindre facilement des fréquences électriques au-delà de 66 MHz, notamment avec l’huile essentielle de Lavande (118 MHz), l’huile essentielle de la menthe poivrée (75 MHz) ou encore l’huile essentielle de la Camomille (105 MHz)…
Dans la revue Industrial Crops and Products, il a été démontré que l’huile essentielle de la Camomille possédait des pouvoirs antioxydants hors pair et qu’elle est efficace à 97% pour éliminer une tumeur cancéreuse In Vitro, précisément dans le cas du cancer du sein.
L’immunologiste, Mahmoud Suhail, avance que l’huile essentielle d’encens est capable de fermer le noyau d’une cellule cancéreuse et bloquer la multiplication des erreurs du code ADN des cellules malades.
Selon ce spécialiste toujours, l’huile essentielle d’encens pourrait devenir le meilleur substitut à la chimiothérapie pour son efficacité irréprochable à corriger les codes ADN corrompus et ne pas impacter les cellules saines, alors que la Chimio fait exactement le contraire !
Si vous voulez avoir des témoignages sur l’usage efficace de cette huile essentielle, voici un lien qui va satisfaire votre curiosité : Budwig Center.