2. 30-39 ans : 86 fois par an
Les 30 à 39 ans ont des rapports sexuels 86 fois par an en moyenne. Vers l’âge de 30 ans, la production de testostérone commence à diminuer. De faibles niveaux de testostérone chez les hommes peuvent conduire à l’impuissance. Elles peuvent également entraîner une perte osseuse, une perte musculaire et une diminution des niveaux d’énergie chez les hommes et les femmes.
En plus de jouer un rôle clé dans la reproduction et dans le maintien de la force osseuse et musculaire, les niveaux de testostérone peuvent également affecter la libido. En outre, à cet âge, on croule sous le poids des responsabilités, ce qui rend difficile de trouver le temps et l’envie de s’adonner au sexe.
3. 40-49 ans : 69 fois par an
Alors que la libido peut encore diminuer à l’âge de 40 ans, les personnes âgées de 40 à 50 ans font l’amour en général 69 fois par an en moyenne. La plupart des femmes vivent une crise de la quarantaine ou une ménopause à cet âge.
La transition vers la ménopause et la crise de la quarantaine peuvent être associées à une réduction significative de la sexualité et de la libido. Les hommes éprouvent également des symptômes du démon de midi qui incluent la perte de libido et le dysfonctionnement érectile.
4. 50 ans et plus : Une fois par mois
Beaucoup de gens peuvent penser qu’une fois que vous aurez 50 ans, votre vie sexuelle sera affectée négativement. Au contraire, les personnes de plus de 50 ans ont aussi une vie sexuelle active, parfois pas aussi active qu’elle l’a été au cours de leur jeunesse, mais meilleure que ce que nous pouvons penser.
La plupart des personnes dans la cinquantaine ou la soixantaine sont à l’aise et n’ont pas à se soucier de leur travail ou de leurs enfants. Cependant, bien que le stress global diminue, il y a parfois des problèmes de santé. Bien que le désir sexuel et l’activité sexuelle puissent diminuer pour certains, d’autres restent sexuellement actifs. La fréquence peut diminuer, mais le sexe est plus satisfaisant à cet âge pour deux raisons : on est plus sûr de soi et on n’a plus les contraintes de la carrière professionnelle ni celle de la vie familiale avec l’éducation des enfants.
Ces chiffres ne sont qu’indicatifs. Il est bien entendu évident qu’il n’y a pas de normes préétablies qui imposent une certaine fréquence des rapports sexuels. On fait l’amour quand l’envie est là et qu’elle est mutuelle. Le désir et le plaisir qui en découlent dépendent de ce que l’on partage durant ce moment d’intimité plutôt que de nombre de fois qu’on le fait.