4- La technique des vieilles casseroles, ou comment je me tape mon ex

Cette thèse culinaire prétend que c’est avec les ex qu’il est bon de s’accoupler de nouveau. S’adresse aux filles nostalgiques qui ont peur de l’avenir et de ses incertitudes et surtout qui sont lasses de résister aux invitations pas très catholiques répétées par leur meilleur ex, justement.

S’il peut être vrai que c’est dans les vieilles casseroles qu’on fait les meilleurs soupes, n’oubliez pas le revers de la casserole : ça peut sentir le brûlé, et accrocher. Après, c’est encore plus difficile de faire peau neuve.

Avantage : il y en a à foison : on connaît le spécimen, on se sent à l’aise, on est complices puis le sexe est vite ultra smoothie… Si l’on parvient à oublier pourquoi on s’est séparé, en fait.

5- La technique du chiffre, ou comment je me tape 100 mecs au lieu de 10

La technique du chiffre n’a pas froid aux yeux : s’adressant aux filles qui font fi des qualifications de « salope » ou « nympho », cette technique se base sur la théorie du manque certain d’hommes, des vrais ; à supposer qu’il y en ait qu’un seul sur 10, ce qui est peu, la technique du chiffre consiste à booster ses chances sur des pourcentages plus élevés, pour en obtenir 10 sur cent donc. Ainsi, en pratique, il suffit de sauter sur tout ce qui bouge sans compter jusqu’à ce qu’enfin on tombe sur la perle rare. « Après moi, le déluge ! »

Avantage : à force de chiffrer, on a vraiment plus de chance de rencontrer enfin quelqu’un qui nous plaise et nous étonne vraiment. Après, il faut voir si ce chouette garçon a vraiment envie de rester avec la fille qui s’est tapé toute la région.

6- La technique de l’endogamie, ou comment mon ami d’enfance il est pas mal

Si l’homogamie, c’est sortir avec quelqu’un qui provient de son même milieu, l’endogamie est elle moins discriminante socialement parlant, puisqu’elle consiste à s’accoupler avec quelqu’un de sa tribu. Ici, comprendre : de son milieu, pas seulement social, mais géographique, professionnel, etc. S’adresse aux filles qui ne savent plus trop ce qu’elles veulent, et sont décidées à enfin prendre la vie comme elle vient. En gros, il s’agit de s’amouracher de ses amis d’amis, collègues, et autres habitués du même rade du coin, sur un air de bon vieil adage : « Les amis de mes amis sont mes amis », et plus si affinité.

Avantage : on est sûre de pas tomber sur un psychopathe en série, oui, mais ça fait toujours bizarre au début de sortir avec Jean-Luc, le meilleur pote de notre frère qui nous connaît depuis qu’on a 16 ans.