3. Le test des phéromones
Il ne suffit pas parfois qu’un mec nous plaise physiquement et intellectuellement pour que l’alchimie corporelle soit au rendez-vous. Ainsi, le test des phéromones, que l’on fait toutes dès le premier baiser, est déterminant.
Cas pratique : On a passé une super soirée à boire des verres de vin en terrasse donc, et le moment du premier baiser arrive. Bien sûr, si le premier baiser est un échec, le test peut se prolonger un peu plus haut, c’est à dire dans son appartement (cf. Test n°2).
On oublie… si dès le premier contact entre notre bouche et la sienne, on sent qu’il y a un petit hic. Non pas que ce garçon embrasse particulièrement mal, mais voilà, un truc ne passe pas. Quand on est dans ses bras, même chose, on a plutôt envie d’en partir. Enfin, une fois sous la couette, tout se confirme : on n’aime pas son corps (ce qui ne veut pas forcément dire que l’on n’aime pas la manière dont il touche le nôtre), on ne se laisse pas abandonner, et a priori, on est pas super impatiente de réitérer l’expérience. Au lieu de se forcer et de se convaincre qu’il pourra nous faire un peu plus frissonner la prochaine fois, mieux vaut se faire une raison : les phéromones, ça ne se contrôle pas.
On réfléchit… si les choses ne se passent pas franchement mieux, mais si l’on sent que tout ça est peut-être dû uniquement au « syndrome de la première fois » : après tout, on sait que les premières nuits ne sont souvent pas les meilleures, et il faut aussi prendre le temps de se découvrir et de se connaître l’un l’autre.
On se réjouit… si le lendemain matin, on n’arrive pas à décoller nos bras des siens et que l’on a hâte d’être au prochain rendez-vous. A priori, le test des phéromones est un succès.