4 – Le pénis doit son érection au bon fonctionnement du système nerveux qui achemine les signaux de l’excitation, du système circulatoire qui irrigue le pénis, ainsi que du pénis et de ses muscles. Comme tous les tendons, le manque d’entraînement les altère et occasionne sa dystrophie.

5 – Les mois et les années passent, au final faire l’amour ne vous manque pas tant que ça. Gare à cette habitude qui altère le goût pour l’activité sexuelle. À ce stade d’abstinence, votre libido, moteur psychologique du désir, est en berne et a besoin d’être titillée. Ne tirez pas un trait sur le sexe sous prétexte que cela ne vous branche plus.

6 – Le sexe équivaut une dépense énergétique moyenne de 100 calories. L’activité sexuelle convient donc aux niveaux d’activité physique recommandés. La testostérone a une action avérée sur les performances du muscle lors d’exercices physiques. Comme pour toute activité physique, l’intensité de l’acte sexuel se répercute sur la fatigabilité de l’organisme. Moins vous en êtes enclins, et entraînés, plus vous vous épuiserez.

7 – L’éjaculation précoce constitue le trouble sexuel le plus fréquent, le tiers des hommes en est touché. Ce phénomène peut aussi être présent chez un homme normal et en bonne santé. D’autres facteurs sont également en cause, nous citerons une hypersensibilité du gland, l’anxiété corollaire à la performance sexuelle, la génétique ou encore des difficultés relationnelles avec son partenaire.