Vous pensiez le connaître sur le bout des doigts, et pourtant il ne vous a pas encore dit tous ses secrets. La preuve par 8.

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1- Il y a peu de chances que votre homme soit en mesure de se pratiquer une fellation à lui-même.
Trois chances sur mille environ, selon Alfred Kinsey, pionnier de la recherche sur la sexualité et père de la révolution sexuelle. L’autofellation laisse donc environ 997 hommes sur 1 000 sur le carreau, en raison de la prouesse physique que la position requiert, mais pas que. Si les chiffres restent obscurs sur la question, le nombre d’hommes rêvant de se sucer eux-mêmes reste restreint. (Quant au poète italien Gabriele d’Annunzio, il se serait fait retirer un os pour y parvenir…)

2- La nuit, je bande.
A ce stade, on se doute qu’on ne vous apprend pas grand-chose. Mais saviez-vous que ces érections nocturnes involontaires et inconscientes ont pour objectif d’oxygéner la verge pour la nourrir ? En moyenne, elles surviennent trois fois par nuit, pour une durée d’érection d’une heure au total. Et si le pénis est toujours au garde-à-vous le matin, votre tenue affriolante et votre haleine de rêve n’y sont pas forcément pour quelque chose, c’est juste que le réveil est intervenu pendant une phase de sommeil paradoxal. Au terme « gaule matinale », Victor Hugo préférait celui de « matin triomphant », que l’on trouve en effet un peu plus élégant, quoiqu’un chouia prétentieux.

3- Le vôtre est plus grand que le sien.
Si ce n’est pas la taille qui compte, sachez que votre clitoris est un poil plus long que son pénis, dont la moyenne est de 9 cm environ au repos. La partie visible du clitoris n’est que de 0,5 à 1 cm, mais sa tige, située à la suite de votre gland (oui, c’est comme ça que ça s’appelle), mesure jusqu’à 10 cm, formant un coude semblable à un « V » inversé.

4- Le corps considère que le pénis n’est pas vital.
Il est même programmé pour le laisser un peu sur la touche en cas de péril. Explication : en situation de danger – froid intense par exemple –, un système de défense naturel se met en place : le corps protège ses organes vitaux (cœur et cerveau) en maintenant une bonne irrigation du sang permettant de conserver leur chaleur. Les organes considérés comme « périphériques » sont laissés en rade. C’est le cas des pieds, des mains ou encore des oreilles chez la femme… Et du pénis, chez l’homme. D’où le raccourcissement de sa taille en immersion dans une eau gelée (en Bretagne le 15 août par exemple, par un phénomène de « vasoconstriction »). Paragraphe déconseillé aux pénis susceptibles.