Depuis quelques années, dans de nombreux pays du monde, le vaccin contre le HPV (papillomavirus humain) est recommandé aux jeunes filles, comme en France, et imposé dans quelques-uns, comme la Grèce ou la Macédoine.

En Australie, où les campagnes de vaccination vont bon train, le vaccin des laboratoires Merck diffusé sous le nom commercial « Gardasil » suscite de graves inquiétudes. Une étude a récemment révélé que Merck & Co. a oublié d’examiner l’impact du vaccin Gardasil sur le système reproducteur des femmes.

Les papillomavirus humains appartiennent à une famille de virus qui attaque le col de l’utérus, c’est une maladie grave. Elle se développe progressivement, à partir de lésions dites précancéreuses. Le Gardasil est venu prévenir ce type de cancer.

En 2008, une jeune fille australienne s’est faite vacciner avec du Gardasil. En 2011 et  suite à l’arrêt de ses règles, elle a consulté un médecin qui a conclu qu’elle souffrait d’une ménopause précoce et que ses ovaires ont été entièrement détruits, alors qu’elle avait ses règles depuis un an.

D’après le journal médical britannique, cette fille de 16 ans a eu ces effets désastreux après lui avoir administré  le vaccin Gardasil. 3 ans après, les ovaires de cette jeune fille ont été complètement détruits avant de pouvoir se développer, elle est entrée dans la ménopause précoce, et pour cette raison, ses ovaires se sont définitivement arrêtés de fonctionner.

Un premier examen avant le vaccin a démontré que les ovaires de la jeune fille étaient en parfait état, et qu’aucune autre influence n’a pu affecter ses ovaires à part Gardasil.

En outre, l’Administration thérapeutique australienne (TGA) a déclaré que Merck n’a pas testé les effets secondaires de ce vaccin sur le système reproductif des femmes. Le rapport indique que «Bien que le rapport public d’évaluation du vaccin quadrivalent contre le HPV de la TGA australienne réalisé en février 2011 ait communiqué une information sur l’histologie des testicules des rats vaccinés et des épididymes, aucun rapport histologique n’a été disponible pour les ovaires des rats vaccinés…»

Pourquoi le fabricant a-t-il fourni des informations sur les testicules des rats mâles, et pas sur les ovaires des rats femelles ?