Pourquoi le fabricant a-t-il fourni des informations sur les testicules des rats mâles, et pas sur les ovaires des rats femelles ?
Indépendamment du fait que son acte soit avec ou sans intention, Merck devait légitimement vérifier l’impact du vaccin sur les ovaires de la femme, autrement une remise en question de la sincérité du producteur et de la TGA est évidente.
En fait, il n’est pas raisonnable de penser qu’ils n’étaient pas au courant du risque potentiel pour les ovaires. Selon le rapport du journaliste d’investigation Heidi Stevenson, Gardasil contient au moins deux ingrédients additifs qui peuvent endommager le système reproducteur des femmes, la L-histidine et le polysorbate 80.
L’acide aminé naturel L-histidine comporte des risques significatifs qui ressemblent à ceux que peut provoquer le Squalène. C’est une substance qui est naturellement présente dans le corps humain, mais lorsqu’elle est injectée dans le corps, peut provoquer l’apparition d’une réponse auto-immune à la substance naturelle, ce qui peut entraîner l’apparition de nombreux effets secondaires graves chez les jeunes filles qui ont été vaccinées avec Gardasil.
Quant au polysorbate 80, qui porte également les noms Alkest, Canarcel ou Tween 80, il est connu pour provoquer des déformations de l’ovaire, des follicules dégénératifs, des modifications hormonales, des modifications de l’utérus et du vagin chez les rats. Pire, il est connu que des injections de polysorbate 80 provoquent des dégâts aux ovaires. Non seulement cet additif chimique accélère grandement la maturation sexuelle chez les femmes, mais il a également tendance à réduire le poids et la fonction à la fois des ovaires et de l’utérus.
Toute une partie de la vie de cette jeune-fille a été détruite, et la seule explication logique est la vaccination avec le Gardasil. Ce vaccin est vendu pour protéger contre le cancer du col de l’utérus, bien qu’il n’ait jamais été démontré qu’il ait pu prévenir un cancer de quelque espèce que ce soit. La prévention du cancer n’a jamais été plus qu’une supposition fondée sur un lien possible entre le papilloma virus et le cancer du col de l’utérus. Aucune relation de cause à effet n’a jamais été documentée. Les rapports de décès et de complications ne cessent cependant d’augmenter comme le montre le cas de cette jeune-fille, le Gardasil ne peut être considéré comme sûr. Les données manquantes sont hautement significatives et suspectes.
Il est certain que la combinaison de tous ces éléments : le cas de cette jeune-fille, la probabilité d’autres cas semblables et le mépris tout à fait impitoyable pour les effets potentiellement dévastateurs de ce vaccin, représente une raison plus que suffisante pour éliminer le Gardasil du marché.
Il est également important que les parents se renseignent minutieusement sur les vaccins avant de les administrer à leurs enfants.