5. Le bon coup est confiant

Variante : on oublie ses complexes
Dans le noir, à la lumière du jour, sous les néons de la cuisine… Si l’on commence à se décrypter sous tous les angles et attendre le terrain idéal pour des ébats mythiques, on n’a pas fini de flipper ! Cellulite, grimaces, sons gutturaux incontrôlables et autres gênes dues aux lois de l’apesanteur et du désir, une amante déterminée à être légendaire s’en contrefiche. Idem pour l’épilation – peut mieux faire – ou encore la lingerie – Ah, si j’avais su je n’aurais pas mis ma culotte Petit Prince : on ne choisit pas (toujours) le moment d’une rencontre, en revanche on peut décider de se détendre et faire confiance à son potentiel bombesque. Et mine de rien, les mollets un peu piquants, les (vrais) mecs s’en remettent largement.

6. Le bon coup communique

Variante : on assume ses désirs
Du dirty talk à la verbalisation de ses émotions, il est parfois – souvent- important de parler. L’idée n’est pas de devenir une Pol Pot de la couette, véritable maîtresse domina qui aboie ses ordres (quoique, certains adorent…) mais bien de dire ce que l’on ressent, pour mieux aiguiller l’autre et mieux faire soi-même. On peut éviter le questionnaire scolaire, mais un « T’aimes ça ? » ne fait jamais de mal quand on s’aventure en terrain inconnu. Sans parler des mots osés, qui peuvent faire un effet bœuf s’ils sont bien susurrés au bon moment. Bref, si tu veux une fessée, tu le dis. Tranquille.

7. Le bon coup est énergique

Variante : on n’est pas feignant
L’ennemie des hommes : l’étoile de mer à l’horizontale. Et celui des femmes : l’indolent égoïste, incapable de se tenir, qui nous écrase et ne pense qu’à lui. Quand on fait l’amour, autant être à 1000% (et ce, même si pour 5 minutes seulement) : ça donne l’agréable impression qu’il se passe quelque chose de fort, qui vaut le coup, justement, de se dépasser un peu. Sans blague, pas question de faire de l’économie d’énergie ! Surtout qu’en moyenne, on dépense quelques 200 calories par demi-heure… Alors on se motive et on passe la barre des 400 calories brûlées. Chiche ?!