La méchanceté cachée et les égoïsmes déguisés

Récemment, le psychologue et chercheur Howard Gardner a surpris les médias avec un commentaire qui a fait le tour du monde.

Selon le professeur de Harvard et grand chercheur sur l’intelligence humaine, les mauvaises personnes ne sont jamais de bons professionnels. Elles peuvent atteindre le succès, mais jamais l’excellence.

Pour Gardner, les bonnes personnes sont celles qui ne recherchent pas la reconnaissance mais qui sont motivées dans leurs travaux car elles souhaitent offrir le bien et un bénéfice commun.

C’est à travers cette vision et ce sentiment qu’une personne devient un bon professionnel.

C’est la même chose qui arrive dans l’environnement privé et relationnel. Cette excellence personnelle s’atteint uniquement en favorisant le bien-être d’autrui et le respect via la réciprocité.

Qui ne pratique pas cette ouverture émotionnelle et cherche uniquement l’intérêt propre ne construit pas de liens, et ne crée pas de ponts.

Le problème majeur, c’est que les personnes qui ont de bonnes intentions et qui sont nobles de cœur ne perçoivent pas celles qui ont de mauvaises intentions.