La question du coït cristallise de nombreux flirts.
Dans le cadre homme femme. De nombreuses constructions sociales pèsent sur le rapport de l’homme au sexuel. Il est parfois perçu comme un être ayant des besoins qu’il doit assouvir, parce c’est dans sa nature…
Je reviens un peu sur tout ça, c’est truc de « nature naturellement désirante par nature ».
Le cerveau de l’homme est-il réellement cylindrique ?
Homme soumis à ses pulsions et belle maman
La pensée populaire veut que l’on considère l’homme comme soumis à ses pulsions, incapable de contrôler son désir. Il serait un queutard en devenir (s’il ne l’est pas déjà).
C’est comme cela que l’on se retrouve dans le salon. Belle-maman tenant particulièrement à nous apprendre son secret de famille pour une béchamel réussie et voyant notre agacement face à la casserole nous dit, d’un ton pincé :
« Si tu ne tiens pas un homme par le bas ventre, tiens-le part la panse ».
Donc, soit tu es bonne, soit tes lasagnes sont bonnes.
Merci belle maman. Merci.
L’histoire de ceux qui se prennent pour des clichés
Certains (je dis bien CERTAINS) hommes jouent de ce cliché.
« Bah oui, si on regarde les filles pendant que vous nous parlez, c'est à cause de la testostérone ! »
« L'infidélité, c'est normal, je suis un mâle ! »
« Il faut bien nourrir son homme ».
« Et puis, bon, faut pas s’étonner si cette fille se fait a été violée, vu comment elle est habillée »
(et que nous hommes sommes si faibles face à notre désir. Pauv’ chou.) .
Alors, ceux-là, pour les séduire, peut-être qu’il faut du sexe.