Personne ne peut vous rendre malheureux sans votre consentement

L’outil le plus puissant pour lutter contre l’injustice émotionnelle et l’indifférence est l’auto-détermination.

Elle est accompagnée de l’amour propre, de la connaissance de soi et de réflexions sur les sentiments, les désirs et les comportements de soi et d’autrui.

Cependant, le processus dans lequel nous sommes immergés dans ces circonstances reflète l’absence de dignité. Celle qui nous manque et qui devrait nous empêcher de suivre ceux que ne nous méritent pas comme des petits chiens.

Ainsi, nous devons utiliser des stratégies difficiles pour gérer ce deuil du « non amour ».

Voyons quelques situations répandues :

  • Le deuil du « non amour » est un processus très difficile qui s’alimente d’une douloureuse phase de pré-contemplation. Généralement, “nous savons que quelque chose ne fonctionne pas”, mais nous n’osons pas mettre des mots dessus ou nous n’ouvrons pas les yeux.
  • Nous contournons le problème et nous le laissons passer, en continuant à nous persuader de ne pas y penser. Et nous nous distrayons en pensant que ce problème émotionnel se résoudra naturellement.
  • Quand nous nous résignons au mal être, il arrive un moment où il augmente à des niveaux insupportables et nous devons nous y confronter quand il nous dépasse complètement.

Mais que se passe-t-il quand nous luttons contre nos propres sentiments et que la lutte devient une bataille sans fin pleine de désespoir, qui ne mène qu’à la souffrance?

  • Il est fréquent d’entendre l’expression “embrasser la douleur”. Ne pas l’ignorer et l’embrasser est quelque chose de positif.

L’idéal pour gérer ce deuil du « non amour » est de l’écouter et de comprendre qu’il nous fait du mal car quelqu’un dont nous voulons qu’il nous aime et que nous aimons sûrement ne nous aime pas, ni ne fait cas de nous.

Alors, pour inverser la douleur, il faut lui apporter une solution.

La solution est de se convaincre que si nous ne recevons pas d’affection naturellement, nous ne la recevrons jamais.

Le mieux est donc de s’éloigner de cette personne car nous pourrons ainsi nous rendre compte que la douleur est surmontable.

Pour en finir avec la souffrance du « non amour », il faut tout d’abord le comprendre et ensuite l’accepter car c’est une conséquence naturel du deuil à la suite de la perte de quelqu’un que nous aimons mais que nous ne pouvons pas avoir.