Certains aspects prédisposent les femmes à souffrir de dépression plus souvent que les hommes. Connaître ces facteurs, les affronter et demander de l’aide est fondamental pour se confronter à cette maladie.

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Si vous êtes une femme, vous devez savoir que la dépression est l’une des maladies les plus communes de nos jours, un état qui affecte beaucoup plus les femmes que les hommes. Pourquoi ?

On ne se brise pas parce qu’on tombe, on tombe parce qu’on est déjà brisé.

Il existe différents facteurs qui rendent la femme plus sujette à souffrir de cette terrible maladie, une maladie qui vous détruit, dont il est difficile de sortir et pour laquelle le soutien de votre famille et de vos amis est essentiel.

Tristesse, dépression, mélancolie

Parfois, on confond le fait d’être triste ou mélancolique avec la dépression. La dépression n’est pas quelque chose de passager, vous ne vous sentez pas mal un jour puis bien le lendemain.

La dépression change votre vie, elle vous empêche de faire les choses que vous faisiez avant, parfois vous ne pouvez même pas vous lever du lit. Elle vous fait sombrer et vous devez faire un effort surhumain pour vous relever.

Si vous êtes une femme et que vous pensez souffrir de dépression, ne doutez pas un instant et demandez de l’aide. Parfois on hésite à le faire, nous pensons que c’est notre imagination, mais le mieux étant d’en être sûr, car comme nous l’avons dit, être une femme vous donne davantage de prédisposition à souffrir de cette maladie.

N’importe quel changement, comme par exemple avoir des difficultés à dormir, le sentiment de culpabilité constant, vous rendre compte que vous n’êtes pas heureux, ne pas pouvoir avoir une vie normale, ce que vous aimiez avant vous est indifférent aujourd’hui… Tous ces exemples sont des signaux d’alarmes auxquels vous devez prêter attention, mais vous devez encore plus prêter attention à votre condition de femme. Vous voulez savoir ce qui nous prédispose à souffrir de ce trouble ?

« Si je suis déprimé, je chanterai. Si je suis triste, je rirai. Si je suis malade je doublerai mon travail. Si j’ai peur j’irai de l’avant. Si je suis pauvre je penserai à la richesse. Si je me sens insignifiant je me rappellerai mes objectifs ».

Og Mandino