Que nous l’admettions ou non, beaucoup d’entre nous cherchent à trouver leur âme sœur. Nous avons tous besoin de quelqu’un à nos côtés qui nous aime et partage avec nous des moments de bonheur et pourquoi pas jusqu’à la fin de nos jours.
Pour vivre une belle histoire d’amour, il faut d’abord trouver cette personne qui est à la fois un bon ami, un confident, un amant et un partenaire de vie. Cette personne fera ressortir vos qualités, vous fera sentir en sécurité et vous comblera par son amour.
L’amour pour toujours, ça existe ?
L’Université de Harvard a publié une étude qui a conclu que l’amour éternel existe et qu’il n’y a qu’un seul secret : ressentir une véritable empathie pour l’autre. Selon la thérapeute Charlotte Pasquier, «Pour qu’un couple s’entraîne, deux personnes doivent marcher dans la même direction, elles n’ont pas nécessairement les mêmes opinions sur tout, et ne veulent pas les mêmes choses. Elles ont juste besoin d’être conscientes des désirs de l’autre ».Selon cette étude, le secret d’un amour durable est l’empathie pour le partenaire. Cela signifie que chacun se met mentalement et émotionnellement à la place de l’autre. L’amour éternel est une question de compréhension sans jugement.
En outre, un groupe de neurochimistes de l’Université de Stony Brook à New York a réussi à trouver des preuves que l’amour éternel est possible. Les scientifiques ont mesuré les réactions dans le cerveau d’un groupe de volontaires qui venaient de commencer une relation amoureuse. Ils ont constaté que lorsque nous voyons une photo de la personne que nous aimons, l’aire tegmentale ventrale (VTA) du mésencéphale réagit. Cette zone du cerveau est dédiée à la production de la dopamine, un neurotransmetteur responsable du déclenchement du désir.
Les personnes mariées (10 femmes et 7 hommes) qui affirmaient avoir encore des sentiments romantiques pour leur partenaire ont été examinées Leurs réactions cérébrales ont été mesurées de la même manière et évaluées sur une échelle de 7 points pour analyser l’intensité de l’amour que ressentaient les volontaires pour leur partenaire. Eh bien, l’intensité minimale enregistrée dans ce groupe de bénévoles était de cinq points.