Vous en avez assez d’être célibataire ? Nous aussi. C’est pour ça qu’on vous aide, mais surtout que l’on rappelle ici avec bienveillance ces sales habitudes (à perdre dès maintenant) qui empêchent d’aimer librement.
1. Mépriser la technologie
La phrase qui vous bloque : “Je déteste Tinder.“
Déjà, mettre toute la technologie dans le même panier est un méga préjugé, d’autant plus qu’il existe des bébés Tinder qui prouvent que cette application sexo-consumériste fonctionne dans les affaires de cœur. En plus, étant donné que plusieurs aspects de votre vie fonctionnent forcément avec du 2.0 (et si ce n’est pas Facebook, c’est WhatsApp), force est de constater qu’au lieu de rester dans des schémas des années 50, il va falloir entrer de plein pied en 2015.
Alors, en attendant celui qui vous emmènera au drive-in manger un hot-dog devant Autant en emporte le vent, vous pouvez tinder pour évaluer le marché et vous entraîner au chat, ça ne vous tuera pas, promis.
2. Bouder les soirées
La phrase qui vous exclut : “Ce genre de soirées, c’est vraiment pas mon truc.“
Et pourtant. C’est la règle d’or qui fonctionne depuis les rites païens tribaux en passant par les fêtes de villages champêtres, Versailles, l’Empire et l’ère du capitalisme : une célibataire doit toujours faire une apparition à une fête. Combien de romances commencées par une scène de bal ? Combien de coups d’un soir, après une soirée endiablée, devenus les coups d’une vie ?
Vous l’aurez compris, plus question de vous faire porter pâle ni d’aller jusqu’au brushing impeccable : bougez vos fesses et acceptez les invitations. Au pire du pire, c’est nul et vous irez vous coucher. Peut-être seule, mais moins bête.
3. Prendre ses crushs trop au sérieux
La phrase interdite : “J’ai vraiment senti que je pouvais tomber amoureuse de ce mec tout de suite. J’te jure !“
Ok, la vie de célibataire est une jungle. Or, si à un moment donné, un drôle d’oiseau passé par là vous tape dans l’œil, c’est prometteur, certes, mais pas une raison suffisante pour tout zapper en quatre secondes et fonder tous vos espoirs sur ce garçon. Un kif, c’est bien, le relativiser un peu, c’est mieux. Bref, comme le dit maman : “aller de l’avant en ménageant ses arrières.“
4. S’attarder sur des mecs foireux
La phrase qui fatigue : “Il faut que je lise plus entre les lignes, je crois.“
C’est justement la phase 2 du crush. Il arrive évidemment qu’on sente une connexion hors du commun en un instant. Mais s’il s’avère que votre jugement s’est retrouvé altéré par les illusions de la vie, la parade du mec, l’alcool, ou le désespoir, et que la réalité de cette situation s’avère pour vous hyper décevante, il n’est jamais ô grand jamais trop tard pour laisser tomber votre coup de cœur. Soyons rationnelles : si l’on peut kiffer quelqu’un en deux secondes, on peut passer à autre chose aussi vite, non ? En général, c’est souvent l’égo qui bloque, et ce sentiment très désagréable qu’on a de s’être trompée…
5. Se référer au passé
La phrase qui vous caractérise : “Je me connais. Je ne sors qu’avec des sportifs / bruns / mecs plus vieux.“
Votre bonheur peut se cacher là où vous ne l’attendiez plus. Souvenez-vous de la petite Charlotte de Sex & The City : après maints échecs à courir après tous les bourgeois preppy et boring de l’Upper East Side, elle se retrouve franchement heureuse avec son avocat juif et chauve. Quand l’on passe son temps à se référer à son propre passé sentimental, on mise surtout sur des schémas qui n’ont visiblement pas fonctionnés jusque là. La solution ? Lâcher prise sur ce que l’on est, et chercher un peu plus qui l’on a envie de devenir, et qui l’on sera.