Certes, nous ne sommes pas si différents et, overcommunication oblige, commençons à mieux connaître nos petits secrets respectifs. Pourtant, bien des énigmes perdurent chez le sexe opposé, en témoignent ces 10 questions recensées par le site Womenhealth comme les plus fréquemment posées par les hommes, lesquelles prouvent qu’ils semblent ne pas encore avoir résolu le mystère féminin. Ce qu’ils se demandent inlassablement ?
1. Avec combien d’hommes a-t-elle couché ?
Faut-il répondre ? Oui, si la réponse se situe entre 0 et 5 (la hum » moyenne nationale « ). Non si au-delà (certes nous sommes des femmes libérées délivrées et n’avons honte de rien mais une omission vaudra toujours mieuxqu’une engueulade inutile qui pourrait resurgir tout au long de votre vie conjugale).
2. A quelle fréquence les femmes se masturbent-elles ?
Ultime tabou d’une société officiellement décomplexée de la culotte : la masturbation féminine, cette arlésienne de la sexualité. Messieurs, la réponse, c’est là :
3. Combien de temps dois-je attendre avant de rappeler une femme qui m’a donné son numéro ?
Les Américains, ces adeptes des règlements en tous genre, ont statué : 3 jours. Quant à nous (les femmes françaises), on préférerait moins, sachant qu’un petit texto pas longtemps après ne mange pas de pain et fait bien plaisir. Pour les sextos, il est préférable d’attendre qu’une certaine intimité se soit installée.
4. Les femmes aiment-elles les photos de pénis ?
Alors que les boobs et les fesses d’une certaine élégante jeune femme ont définitivement cassé l’Internet, quid des pénis ? Les femmes se partagent-elles les plus beaux pénis de stars en catimini ? Matent-elles discrètement de gros specimens sur leur smartphone avant d’aller se coucher ? Euh… non.
5. Réveiller une femme au milieu de la nuit pour lui faire l’amour, c’est cool ?
Dans l’idée oui, et beaucoup aimeraient susciter un désir indomptable chez leur compagnon de litée plutôt qu’une indifférence ponctuée de ronflements peu sexués. En vrai, pas sûr que ce soit si emballant que ça. Quand on dort, on dort.