S’il y a un secteur économique digne de retour, c’est bien l’industrie pharmaceutique. Avec la production de nouveaux médicaments, le marketing et le lobbying, il est compliqué de savoir si les traitements qui nous sont prescrits sont vraiment sans danger pour notre santé.

Compte tenu des effets secondaires et des avantages / risques des médicaments, de nombreux traitements que nous recevons sont nocifs et peuvent même être mortels. Par conséquent, pour vous aider à mieux comprendre, voici 4 médicaments nocifs pour votre santé.

  1. Les vaccins contre la grippe 

Chaque année, il est préconisé de se faire vacciner contre la grippe notamment pour les personnes âgées. Pourtant, les souches virales de cette maladie se modifient d’année en année. Par conséquent, le vaccin grippal n’est pas toujours adapté au virus de la grippe, d’autant plus que la fabrication du vaccin est lancée environ six mois avant l’apparition de l’épidémie. En outre, cela affecte et affaiblit le système immunitaire car la vaccination endommage le principe d’immunisation. En effet, en cas de vaccination, la voie d’entrée de la maladie (par la peau) est différente de celle d’une maladie qui surviendrait naturellement, c’est-à-dire par la bouche ou la cavité nasale. Ainsi, le vaccin court-circuite les fonctions immunitaires de la peau, des amygdales, des muqueuses etc. car les corps étrangers sont directement injectés dans le flux sanguin. De plus, le corps n’a pas le temps de produire les anticorps supplémentaires qui permettent de lutter contre la maladie car l’infection passe directement dans le sang, sans préparation préalable du corps et de ses cellules immunitaires. Ainsi, l’injection d’un vaccin par cette voie non naturelle peut utiliser jusqu’à 70% des ressources du système immunitaire au lieu de 3 à 4% lors d’une maladie d’origine naturelle selon Cynthia Cournoyer, auteure de What about immunizations ?.

  1. Les anticoagulants

Les médicaments anticoagulants sont notamment utilisés dans le traitement des phlébites et des embolies pulmonaires ainsi qu’en prévention d’accidents vasculaires cérébraux (AVC). Leur but est de fluidifier le sang afin d’éviter la formation de caillots sanguins. Pourtant, cette fluidification du sang, lorsqu’elle est excessive, peut être à l’origine d’hémorragies mortelles. En outre, l’usage de ce type de médicament favoriserait le développement de réactions immuno-allergiques dont une insuffisance rénale, des anomalies de la formulation sanguine, une gêne respiratoire et de la fièvre. Mais ce n’est pas tout, certains aliments sont interdits en association avec un médicament anticoagulant car ils augmentent davantage le risque de saignements ou au contraire diminuent l’activité de l’anticoagulant, ce qui provoque un risque accru de phlébite. À noter que parmi ces aliments contre-indiqués, il y a la tomate, les épinards, les pois, la pomme de terre, en raison de leur richesse en vitamine K. 

  1. Le vaccin anti-rotavirus

Le rotavirus est un virus pouvant provoquer une gastro-entérite grave, notamment chez les nourrissons et les jeunes enfants. Ainsi, pour prévenir l’apparition de cette infection, un vaccin a été mis en place. Toutefois, ce dernier a des effets plus ou moins graves dont : diarrhée, gaz, irritation cutanée, douleur abdominale, sang dans les selles. De plus, il peut être à l’origine d’une obstruction intestinale, d’une réaction allergique mais aussi d’invagination intestinale. Cette dernière est une maladie rare dont le risque d’apparition augmente à la suite d’une vaccination contre le rotavirus. Elle est caractérisée par l’introduction d’une partie d’intestin dans un autre segment d’intestin et s’illustre par une fièvre élevée, des douleurs abdominales, du sang dans les selles et des ballonnements. L’invagination intestinale doit être traitée précocement car si le diagnostic tarde, l’issue est parfois fatale comme l’a démontré le décès en France de deux bébés, en 2012 et 2014, qui avaient été vaccinés conte le rotavirus.  Mais pour quelle raison ce vaccin augmente le risque de développer une invagination intestinale ? Il semblerait que cela soit dû à la stimulation du système immunitaire provoquée par le produit du vaccin dont la prise est orale et qui augmente le volume des glandes de l’intestin.

  1. Les benzodiazépines

Utilisés dans le traitement de l’anxiété, du stress, des troubles du sommeil, de l’épilepsie ou encore du sevrage alcoolique, les benzodiazépines sont des molécules qui agissent sur le système nerveux central et qui sont employées pour leurs effets anxiolytiques, calmants, hypnotiques et anticonvulsifs. Ces médicaments sont prescrits sur des courtes durées au vu de leurs effets secondaires nuisibles pour la santé dont : somnolence, pertes de mémoire, manque de concentration, troubles de l’équilibre et du rythme cardiaque, nausées et maux de tête. En outre, s’ils sont pris à long terme, ils peuvent provoquer une dépendance et des troubles de la mémoire, voire une démence car ils agissent directement sur le système nerveux. Par ailleurs, s’ils sont arrêtés brutalement, ils peuvent être à l’origine d’une anxiété, de tremblements, d’agitation, de convulsions, d’attaques d’apoplexie, de paranoïa, d’hallucinations et de délire. Sans parler du surdosage au vu de la tolérance ressentie vis-à-vis des benzodiazépines et des accidents graves (accidents de voiture, chutes) qui se produisent sous l’influence de ce type de médicaments.