Intimité, l’ingrédient essentiel !

Beaucoup de femmes se disent non disposées à céder aux attentes de leur compagnon parce que les conditions ne sont pas propices.  Ce manque d’intérêt est souvent lié au contexte et à l’ambiance. Conflits conjugaux, manque d’intimité ou de communication et froideur affective, influencent le désir sexuel.

La bonne nouvelle c’est que ces petites tracasseries sont surmontables. En se donnant le droit au plaisir et en s’aménageant des petits moments d’intimité, sans les enfants, après un dîner aux chandelles, pour explorer toutes les pièces de la maison en Kama Sutra, voilà qui devrait démultiplier votre potentiel coquin et recouvrer votre intimité et votre complicité.

Quand le sexe fait mal !

Si vous ressentez de vives douleurs lors de la pénétration au point de redouter cet instant voire vous en désintéresser complètement, il y a de fortes probabilités que vous soyez atteinte de dyspareunie, l’un des troubles sexuels féminins les plus fréquents. Et pour couronner le tout, brûlures, irritations, raidissement n’arrangent en rien les choses.

Si vous n’en êtes qu’à vos premiers émois, l’origine de votre mal-être peut n’être que psychologique. L’angoisse devrait se dissiper graduellement avec une dose de bonne volonté de part et d’autre. Détendez-vous, laissez-vous aller progressivement, prolongez les préliminaires et laissez-vous choir dans les bras de votre amant. Si en revanche, la douleur perdure et devient plus récurrente, il se peut que vous ayez contracté une infection. Consultez sans plus attendre !

Quand l’anxiété sexuelle s’en mêle !

Peur de dormir trop tard, peur de ne pas plaire, peur de réveiller les enfants, peur de foutre la pagaille, peur de ne pas être à la hauteur, peur de ne pas atteindre l’orgasme, tout et n’importe quoi peut mettre une femme en émoi et devenir source d’inquiétude. Et si vous cessiez de tout vouloir contrôler et lâchiez prise, vous vous apercevrez vite que cela ne mérite finalement pas tant d’anxiété.