Dérangeants pour certaines, synonymes de liberté pour d’autres, les poils pubiens font débat. En effet, chacun défend ses convictions vis-à-vis de l’épilation du maillot ou au contraire, prônent un pubis au naturel et rien d’autre. D’ailleurs, à travers ce débat poilant et poilu, des mythes ont vu le jour.

Mais qui dit mythe dit vérité, alors comment démêler le vrai du faux ? Découvrez toutes les réponses concernant 6 mythes sur les poils pubiens qui ont la vie (ou le poil) dure et qu’il faut absolument arrêter de croire.

Les 6 mythes sur les poils pubiens qu’il faut arrêter de croire

  1. Les poils pubiens ne protègent pas contre les MST 

Bien qu’à eux-seuls, les poils pubiens ne protègent pas des maladies et des infections sexuellement transmissibles, ils favorisent néanmoins la réduction du risque de développer une telle affection. Le réel risque réside en réalité dans l’épilation des poils pubiens car elle engendre des microlésions qui offrent un terrain propice à la transmission des MST et des IST à travers les substances corporelles des partenaires, comme le sang ou le sperme.

  1. Les poils pubiens entravent le plaisir sexuel 

En réalité, cela varie d’une femme à l’autre et de son partenaire. Bien que scientifiquement les poils pubiens protègent la vulve contre les frottements et les chocs, ils ne réduisent pas la stimulation sexuelle. Cependant, certaines femmes préfèrent être épilées car elles se sentent désirables aux yeux de leur partenaire.