Vous ressentez un film comme si vous viviez l’action ? Vous pouvez passer du rires aux larmes aussi vite que Buzz l’éclair ? Et s’il s’agissait des signes de l’hypersensibilité ? Découvrez nos conseils pour apprendre à gérer son hypersensibilité émotionnelle par ici. Vous verrez, en sachant maîtriser ses émotions, l’hypersensibilité peut se révéler être un sacré atout.

6-vrais-conseils-gerer-hypersensibilite

Hyperactivité émotionnelle : apprendre à la maîtriser

 

Gérer son hypersensibilité émotionnelle, c’est évidemment tout un art. On aimerait bien la contrôler en un claquement de doigt comme Sabrina l’apprentie sorcière. « J’ai envie de pleurer devant ma boss ? Claquement de doigts » Je panique parce que je n’ai pas eu le temps de faire un gâteau pour l’anniv de Sophie ? Claquement de doigts. Sauf que dans la vraie vie, ça ne fonctionne pas vraiment comme ça. Pour parvenir à gérer ses émotions, on a besoin de quelques conseils comme :

 

  • S’obliger à prendre de la distance.

La grande spécificité des hypersensibles est leur habilité à s’imprégner des sentiments des autres. L’empathie est donc leur plus grande qualité… Mais aussi leur plus grand défaut ! L’idée ? S’obliger à réfléchir aux sentiments qu’on ressent par effet de miroir. Est-ce que c’est une situation qui me touche moi personnellement ou la personne en face de moi ? Si c’est la seconde option, on s’efforce à souffler et à écarter l’information. En d’autres termes, on apprend à repérer lorsqu’on fait une projection et on se dé-tend.

 

Hyperactivité émotionnelle : nos conseils pour la gérer

 

  • S’obliger à lâcher prise

Les hypersensibles ont un fort besoin de comprendre ce qui les entourent, ils sont en quête permanente de sens et font de l’injustice leur premier combat. Comme s’ils n’avaient jamais dépassé le stade du « pourquoi » lié à l’enfance. Si cela prouve leur grande intelligence, cela peut se révéler épuisant à vivre de l’intérieur. Certaines personnes vont jusqu’à se sentir isolées en ayant du mal à exprimer leurs différentes angoisses et questionnements existentiels. L’idée ?Apprendre à lâcher prise en prenant conscience qu’on ne peut pas avoir d’emprise sur toutes les choses qui nous entourent. Que certaines choses nous dépassent… Et que finalement, ce n’est pas si grave.

 

  •  Comprendre que l’échec n’est jamais une fin en soi

Les hypersensibles se révèlent être de grands perfectionnistes. Si cela peut sembler être une bonne chose, leur motivation à l’être l’est un peu moins : la peur de l’échec. Une peur viscérale de mal faire, de rater, d’être nul et irrécupérable. L’idée ? Se dire que l’échec n’est jamais une fin en soi mais plutôt un moyen d’apprendre et de se surpasser. Après tout, les grands business man affirment tous sans exception avoir vécu l’échec. Faites de l’échec un moteur pour vous surpasser mais ne le voyez jamais comme une « épée de Damoclès ».