Solitude, introversion et perception

Il n’y a pas eu d’autres études pour l’instant et il est encore compliqué de bien définir les caractéristiques cérébrales des personnes qui préfèrent la solitude.

Mais, même si la littérature de ce champ n’est pas très étendue, les résultats sont assez étonnants.

Par exemple, on a démontré qu’il existe une relation étroite entre l’introversion, la créativité et l’originalité.

De plus, les solitaires jouiraient ou ressentiraient plus de satisfaction lorsqu’ils obtiennent des résultats de leurs «efforts mentaux».

Cela signifierait que ce qui se passe dans les contextes d’interaction les affecte plus.

Pour arriver à cette théorie, la chercheuse a réalisé une étude avec deux groupes d’enfants : un groupe d’enfants réservés et un autre non réservés.

Tous devaient participer à un jeu où ils devaient appuyer sur un bouton pour gagner de l’argent.

Les enfants discrets avaient jusqu’à trois fois plus d’activité cérébrale -région striée- que les membres de l’autre groupe.