Les choses avancent

Malgré les déficiences intellectuelles, les trisomiques rejoignent des classes ULIS des établissements scolaires classiques ou les IME (Institut-Médico-éducatifs). Ils peuvent également être accompagnés par des AESH (Accompagnant d’Elève en Situation de Handicap) et s’inscivent dans des Projet personnalisé de scolarisation qui peuvent inclure les soins (kinésithérapie, équipe pluridisciplinaire,…). Trisomie France 21 et 20% des parents constatent le manque de formation plus poussée des enseignants concernant les situations de handicap. Les parents ont également constaté à regret qu’un départ d’un AESH entrainait le retour à la maison de l’enfant trisomique. Ils militent pour l’école inclusive. D’un point de vue espérance de vie d’un enfant trisomique, elle est passée de 20 ans en 1950 à 60 ans aujourd’hui. Les recherches en cours ont pour but de diminuer la déficience intellectuelle en améliorant le QI. Cela doit permettre de rendre totalement autonome 4 000 des 50 000 trisomiques et en autonomie relative 25 000 contre 1 500 aujourd’hui.