La médecine moderne a catégorisé le sang humain en quatre groupes : A, B, AB et O. La principale différence entre les types de sang est liée à la présence d’une protéine appelée Rhésus dans chaque groupe. Le rhésus est une particularité génétique : on est toujours du même rhésus qu’il soit positif ou négatif. Une personne est rhésus positif si ses globules rouges portent, à leur surface, la molécule rhésus. Cependant, le sang du type Rhésus négatif crée une exception intéressante, car ce type ne contient pas de protéines.

Il existe plusieurs théories sur la raison de cette carence en protéines et une théorie suggère des origines d’un autre monde. En d’autres termes, les personnes ayant un tel type de sang, et qui représentent environ 15% de la population humaine, pourraient provenir d’une planète différente.

Les théories comme celle-ci vont très loin, mais une chose est sûre : les personnes ayant ce type de sang ont des caractéristiques uniques. Tout d’abord, il y a la question des dons de sang, ce type de sang peut être donateur à tous les autres types de sang. Il est compatible sur toute l’échelle du sang, et avec tout le monde. Cependant, malheureusement pour les personnes ayant ce type, elles sont très limitées dans leur compatibilité pour recevoir du sang, car seul leur propre type peut les aider. Sur le plan géographique, même si elles représentent un pourcentage solide de la population humaine, elles sont principalement situées dans le nord de l’Europe.

Les origines du type

La question initiale des origines reste sans réponse. Les scientifiques spécialistes dans les domaines de la génétique, de la biologie, et de l’archéologie, ont remis en question la provenance exacte du groupe sanguin Rh négatif, qui date d’environ 35.000 ans.  Environ 40 à 45% des Européens ont un groupe Rh négatif mais seulement 3% des afro-américains et 1% des personnes asiatiques ont un Rh sanguin négatif.

Les caractéristiques

Il existe des caractéristiques physiques communes à considérer, comme une température corporelle généralement inférieure à la moyenne, des cheveux roux ou auburn, une sensibilité supérieure à la moyenne aux températures élevées, des yeux verts, bleus, ou noisette. Et aussi plus de conscience physique et émotionnelle.

Les théories d’origine étrangère sont encore alimentées par les circonstances entourant les grossesses de femmes de Rh négatif. À savoir, ces femmes ont du mal à donner naissance à un enfant Rh positif, car leur corps essaie naturellement de tuer l’enfant.

Pourquoi le corps de la mère Rh négatif attaquerait-il sa propre progéniture ?