AMOUR IMPOSSIBLE : « JE SUIS AMOUREUX FOU DE LA SOEUR DE MA FEMME »

Témoignage de Ryan, 32 ans.

 

J’ai connu ma femme, Leila, quand elle avait 20 ans. A l’époque, sa sœur Telma en avait 12. Pendant les premières années, je voyais Telma comme une enfant, ce qu’elle était. Jusqu’à l’anniversaire de ses 16 ans. Je m’en souviendrai toujours. Son T-shirt moulant, ses petits seins fermes qui pointaient à travers le tissu, ses fesses, sa cambrure… Le désir qui m’a envahi alors était fulgurant, pour ne pas avoir honte, je l’ai enfoui sous une chape de plomb.

 

Pendant les années qui ont suivi, je l’ai vue grandir et devenir une bombe. Simultanément, Leila a accouché de nos deux fils. C’est une vraie, une bonne mère, une femme que j’aime très profondément. Mais chaque fois que je pose mon regard sur Telma, le feu me ronge. Le pire, c’est que les situations chaudes ne manquent pas. En effet, Leila, qui est infirmière, doit souvent faire des gardes de nuit. Quand je rentre trop tard le soir pour m’occuper des enfants, c’est Telma qui s’en charge. Et nous nous sommes souvent retrouvés la nuit en tête à tête. Une fois, lorsqu’elle avait 18 ans, alors que j’étais affalé sur le canapé, devant la télé, elle est venue s’allonger en utilisant innocemment mon ventre comme oreiller, elle a replié ses jambes pour poser ses pieds sur l’accoudoir ; du coup, sa jupe est retombée sur ses cuisses fuselées, découvrant la limite de sa culotte noire. La vision la plus sexy de ma vie. Impossible qu’elle n’ait pas senti, contre sa joue, monter mon érection. Elle a continué à regarder le film comme si de rien n’était. Au bout d’un moment, elle a dit qu’elle descendait fumer une cigarette. En état de choc, je suis allé prendre une douche froide. Quand j’en suis ressorti, elle avait laissé un mot sur le canapé : « Finalement il vaut mieux que je rentre à la maison. »

 

Je ne suis pas un obsédé sexuel, mais je dois avouer que Telma a fini par me hanter. Je n’arrêtais pas de penser à elle, c’était physiquement douloureux cet amour impossible. Récemment elle m’a donné le coup de grâce : on était tous les deux serrés dans l’ascenseur minuscule qui mène chez moi et elle a dit : « Je vais me marier. » Moi j’avais le cœur brisé et le sexe en feu. Le jour du mariage, pendant la soirée, on s’est retrouvés par hasard dans une chambre de la maison de ses beaux-parents, où se déroulait la fête. Elle a fermé la porte et m’a embrassé violemment sur la bouche avant d’aller retrouver son mari. Aujourd’hui je suis toujours avec ma femme, mais sa sœur m’obsède. Je ne suis jamais passé à l’acte, mais mes pensées sont bien pires.